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Torres del Paine : journal de bord

Written by sophie. Posted in Chili

Jour 0

Notre bus vers l’inconnu part à 14h. Il nous reste 4h pour finir nos sacs et faire les dernières courses. Nous connaissons maintenant notre itinéraire, synthétisé par ce schéma :

 

Le circuit du W de Torres del Paine est, comme son nom l’indique, en forme de W. Nous profiterons de cette particularité pour éviter de porter nos sacs à dos dans les « branches » du W. Ça reste quand même un vrai challenge pour nous : marcher en montagne pendant 4 jours, 8 à 9h par jour, la moitié du temps avec nos sacs : on n’est pas certains de revenir…

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Il est 13h, les sacs sont faits ! Nous emportons notre tente, des affaires de rechange et surtout des vêtements chauds pour la nuit. Nos duvets sont en effet prévus pour des températures supérieures à 11°C ;il risque de faire 0°C…Nous allons avoir froid ! Nous n’oublions pas non plus nos manteaux et ponchos, même si la météo devrait être avec nous.

La nourriture a été un vrai casse-tête : comment prendre assez de nourriture pour 4 jours, qui se conserve, et en limitant le poids. Nous achetons pour le soir des pâtes, du riz, des noodles, et de la soupe (pour les légumes !). Les déjeuners seront composés de pain, au début, puis fajitas avec chorizo et/ou fromage. On complète avec quelques fruits, des barres céréalières, des gâteaux et des bonbons !

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Ca y est, nous sommes dans le bus, nous ne pouvons plus reculer. Nous voyons défiler les paysages typiques de Patagonie, presque familiers maintenant mais toujours impressionnants. Nous rencontrons 5 autres français dans le bus : un père et son fils, un voyageur solitaire et un couple faisant également un voyage autour du monde !

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17h15…euh…17h51 avec le retard chilien habituel, nous arrivons à l’embarcadère de Pudeto. Un bateau doit nous emmener à notre premier refuge…Aucune marche prévue ce jour-ci, on se réserve pour demain. Nous profitons de la traversée pour prendre une cinquantaine de photos, il faut dire que le paysage vaut le coup !

Nous sommes un peu surpris du nombre de personnes dans le camping ! Nous trouvons quand même un terrain à peu près plat où nous plantons notre tente.

Direction la cuisine pour le dîner, car on nous a bien répété 10 fois que nous ne pouvions utiliser notre réchaud à gaz que dans des endroits bien précis : plusieurs incendies ont en effet ravagé la forêt depuis quelques années.

On se couche avec le soleil. Le sol est dur, l’air est frais : nous utilisons nos deux couvertures de survie (l’une en dessous et ‘autre au dessus) pour nous isoler du froid. La nuit promet d’être longue…

 

Jour 1

On est encore vivant, et on a encore tous nos doigts ! Après un petit déjeuner royal (café, pain et nutella, orange), on laisse nos affaires dans la tente direction le glacier Grey. Nous avons, d’après la carte, 3h30 de marche jusqu’à un refuge, puis 30 minutes avant d’atteindre le glacier. Et il faudra ensuite repartir…

Dès les premiers mètres, nous nous apercevons que nous avons perdu un compagnon, resté à l’hôtel. Phil Rooj s’est défilé !

Au bout d’une petite heure, nous arrivons à un premier lac. On nous avait mis en garde contre « l’air con » qu’on aurait à chaque point de vue, mais on tombe dans le panneau dès le premier ! On essaiera d’être moins surpris les prochaines fois.

Nous avançons assez rapidement. Nous sommes même étonnés de doubler tant de personnes, et d’être dépassés par si peu : sommes nous partis trop vite ? Nos précédentes randonnées ont-elles porté leur fruit ? Nous verrons plus tard. Le glacier apparaît au loin…

Trois heures de marche et « déjà » au refuge. Il n’a d’ailleurs de refuge que le nom, c’est plutôt un hôtel de luxe. Pas étonnant que les prix soient si élevés… Une petite quinzaine de minutes plus tard, nous sommes arrivés. Même s’il est moins impressionnant que le Perito Moreno, son coté naturel et préservé nous plaît ! On a en plus l’impression d’être seuls : la zone est suffisamment grande pour que personne ne se gêne.

Deux heures de pause et un déjeuner face au glacier, on en a profité au maximum. On a vu une sirène, un éléphant et un randonneur…sculptés dans la glace des Icebergs !

Mais il est temps de repartir. On sent un peu la fatigue, mais on avance encore rapidement.

On croise le couple de français qui monte. Ils ont en effet privilégié la marche au bateau, et on donc une demi journée de retard (qu’ils rattraperont d’ici ce soir).

Retour au camp de base, pour une douche chaude bien méritée… le challenge consiste à sortir de la salle de bain plus propre qu’en y entrant. Pas si facile vu l’état et la propreté de la douche…

On dîne en compagnie des deux français, et on se rend compte qu’ils sont encore moins équipés que nous : pas de réchaud ni casserole, pas assez de nourriture et pas d’argent chilien ! On « admire » aussi leur flegme, parce que ça n’a pas l’air de les déranger…

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Il est 21h, on rentre dans notre tente. Comme la nuit précédente, on espère dormir un peu. On ne peut pas dire qu’on soit enjoué lorsque l’on se glisse dans nos sacs de couchage, c’est même le pire moment de la journée !

 

Jour 2

Le réveil sonne à 7h. Même ici, les horaires ne sont pas tout à fait libres : il faut en effet passer un point de contrôle avant midi, sinon, nous ne pouvons théoriquement pas grimper la deuxième branche du W. Lever immédiat…enfin une vingtaine de minutes plus tard. On valide encore une fois le théorème du fainéant : quelque soit la nuit que tu passes, et même si tu es réveillé 15 minutes avant que ton réveil sonne, à partir du moment où tu dois te lever, tu es soudainement très fatigué !

Notre courage est cependant récompensé : la journée s’annonce encore ensoleillée. On se met en route, cette fois avec les sacs sur le dos. Nous avons 2h30 pour atteindre le camp Italiano, où nous laisserons nos affaires avant de pénétrer dans la « Valle del Frances » (vallée du français).

La marche se passe plutôt bien. Ça fait une heure qu’on longe un lac, et l’on devine à l’horizon la vallée que l’on souhaite atteindre.

 

Notre bouteille d’eau se vidant, nous la remplissons à l’une des nombreuses rivières que nous traversons. On nous a en effet affirmé que cette eau était potable, nous nous sommes jetés à l’eau hier déjà, sans souci pour l’instant !

Nous sommes arrivés à la première étape de la journée. Nous posons nos sacs en équilibre sur un arbre, pour les protéger d’une éventuelle pluie. Impossible de monter la tente, le camp Italiano est en effet fermé pour rénovation. Notre aubergiste nous a cependant donné l’astuce pour y dormir : il suffit d’arriver au camp après 19h pour que les Rangers nous laissent nous y installer… Le camping le plus proche étant en effet à 2h de marche, les responsables du parc n’ont pas tellement d’autre choix.

On commence l’ascension. Le chemin n’est pas vraiment tracé, et nous nous dirigeons un peu à l’aveuglette au milieu des cailloux. Heureusement, des marqueurs oranges nous confirment que nous sommes sur la bonne route.

La marche est vraiment amusante : on traverse les ruisseaux en sautant sur des pierres, on escalade des rochers,… Un peu fatigante aussi quand il faut descendre pour remonter en suivant le terrain vallonné.

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Ca y est, nous sommes arrivés, en 1h au lieu des 2h30 théoriques…Ah non, nous ne sommes qu’au premier point de vue ! Mais vu le panorama, la pause s’impose.

On est reparti depuis 30 minutes maintenant. Perdus dans la forêt, longeant une rivière au débit impressionnant, les jambes lourdes et l’estomac vide (on s’est lancé le défi de ne manger qu’une fois en haut), on espère que le prochain point de vue sera aussi impressionnant que le précédent.

On retrouve le couple de Français juste avant la « montée finale ». On la fera donc ensemble, ça nous donnera un regain d’énergie. On pense enfin à leur demander leur prénom, il serait temps après 2 jours…

Installés « confortablement » sur des pierres, on profite d’une vue exceptionnelle sur la vallée. Même si certaine la trouve un peu décevante, certain l’apprécie vraiment… On partage nos aventures de voyage avec « Adi et Mimi », l’occasion de bien rire de nos pires expériences !

 A peine 45 minutes de marche, nous voilà déjà revenu au premier point de vue. La descente va vraiment plus vite que la montée. Il ne nous reste « que » 3h à patienter avant de revenir au camp Italiano. L’occasion d’ajouter quelques clichés aux centaines de photos prises depuis le début du trek. Comment aurait-on fait avec un appareil à pellicule ?

Pourquoi a-t-on été si impatient ? On nous avait bien dit d’arriver après 19h, mais nous avons estimé que 18h30, c’était suffisant.

Le ranger a demandé aux garçons venus récupérer les sacs de continuer leur route. Heureusement, il a changé immédiatement d’avis en voyant les filles, restées en arrière…L’égalité des sexes soit disant…

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Pâtes à moitié cuites ou renversées selon les couples, on passe quand même une très bonne soirée. Puis vient l’heure tant redoutée de se coucher…

 

Jour 3

La journée qui s’annonce est la plus dure de notre trek : 9 h de marche avec nos sacs !

On reprend la route à deux, Adi et Mimi étant partis plus tôt pour atteindre un refuge encore plus loin.

On pensait que cette journée serait sans grand intérêt, on se trompait. On découvre encore de nouveaux paysages. On atterrit sur une plage, dont la vue n’a rien à envier à celles d’Asie et d’Océanie. Si seulement l’eau n’était pas si froide…

Pour la 457 fois, on dit « Hola » à un groupe de personnes que l’on croise. A première vue, il y a une majorité de Chiliens et autres Sud-Américains (logique), d’Israéliens (qui voyagent beaucoup en Patagonie après leur service militaire) et… de Français (comme partout dans le monde !).

On a pris un raccourci. Le chemin n’existe pas sur la carte, mais un panneau nous l’a indiqué…Nous sommes incapables d’estimer le temps restant, mais nous savons que nous marchons depuis 5h !

Ça monte, ça monte, ça monte. On commence à sentir le poids des sacs…Les montagnes nous paraissent maintenant plus cruelles que belles. Chaque sommet nous fait croire que c’est le dernier, mais une fois arrivés, un autre se dresse devant nous !

On n’arrivera jamais au bout ! Nous venons de croiser un canadien que l’on avait rencontré à Valparaiso, qui nous a donné de faux espoirs. Il a commencé sa phrase par « Vous êtes bientôt arrivés » et l’a finit par « Il ne vous reste plus qu’une heure ». Pour nous venger, on lui a appris qu’il en avait encore pour au moins 3h !

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Ça y est, on est enfin en haut. On a complètement oublié de prendre des photos dans la montée, on se rattrape un peu maintenant. On aperçoit le refuge Chileno au loin…

Laisser tomber son sac à ses pieds pour ne plus le reprendre de la journée, quelle agréable sensation ! Nous plantons la tente sur une plate-forme : le sol sera dur, mais au moins il sera droit.

On prend également une bonne douche chaude, parce qu’on commençait à ne pas sentir très bon…

Malheureusement, on arrive à la fin de nos vivres : ce soir, ce sera donc noodle !

 

Jour 4

Nous avons fait la grasse matinée. Le programme de la journée ? 2h30 de marche pour atteindre les « 3 Tours », retour au refuge Chileno, puis 2h de descente pour rejoindre notre navette, à 19h. Nous avons donc tout notre temps, et nous comptons ne pas nous presser.

Nous sommes content de replier la tente pour la dernière fois…Même si le trek est vraiment superbe, nous avons hâte de nous reposer à l’auberge, et de dormir au chaud dans un lit.

La première partie se passe bien. Les jambes sont un peu lourdes, mais nous sommes plus que jamais déterminés ! On marche dans la forêt, on traverse des rivières, on monte et on descend au grès du relief…bref, la routine…

Nous sommes à 45 minutes du « Mirador Las Torres ». Mais la partie qui nous attend est également la plus pentue. On s’est équipé de bâtons improvisés pour faciliter notre progression : ça nous aidera peut être, et puis, ça fait bien sur les photos !

Pour la première fois depuis le début du trek, on a mis plus de temps que ce qui est théoriquement prévu…On met ça sur le dos de la fatigue cumulée ces derniers jours. Peu importe, on est en haut et on profite ! On remercie encore Sainte Claire pour le temps qu’on a eu pendant ces 4/5 jours. Sous la pluie, nous aurions certainement moins profité de notre périple…

C’est parti pour la descente : environ 700m de dénivelé jusqu’en bas.

Moins fatiguant pour le cœur et les poumons, mais les genoux prennent le relais, surtout après avoir récupéré nos sacs. On fait plusieurs pauses pour rester un peu plus dans ces paysages magnifiques.

Nous avons vaincu le W ! On est vraiment fier et content. Tout s’est idéalement passé, on a réussi le défi haut la main. Avec un peu de volonté, ce n’était finalement pas si dur. Et le jeu en valait la chandelle : on en a pris plein les yeux !

 

Bariloche, la montagne ça vous gagne!

Written by sophie. Posted in Argentine

Nous quittons provisoirement le Chili ! Nous prévoyons en effet de traverser la Patagonie coté Argentin, et de traverser à nouveau la frontière beaucoup plus au Sud pour rejoindre le Parc Torres del Paine.

On atterrit (enfin on y arrive en bus) à Bariloche, sous le soleil. La région, surnommée la « Suisse Argentine », est réputée pour ses paysages de lacs et de montagnes, sa station de sports d’hiver (il n’y avait malheureusement pas de neige quand on y était) et…le chocolat, qu’on n’a pas oublié de gouter. La technique consiste à faire le tour des magasins, pour « comparer »  les chocolats proposés gratuitement à la dégustation…

On y est resté 5 jours, mais on aurait pu y rester beaucoup plus vu le nombre d’excursions possibles. On est d’abord allé au Cerro Campanario, pour profiter du « meilleur point de vue de la région ». Un télésiège permet de monter jusqu’au sommet sans se fatiguer…

Mais on privilégiera la marche, moins chère et meilleur pour la santé ! Après 30 minutes de grimpette, on arrive enfin. La vue sur les lacs est magnifique.

 

Notre deuxième excursion sera beaucoup plus sportive. Objectif : aller dormir près d’un refuge en montagne, au bord d’un lac. Nous voilà donc parti avec notre tente, notre nourriture, et surtout nos habits les plus chaud !

On avait un peu peur de se perdre, mais on a vite été rassuré par les panneaux balisant le sentier.

Le début de la randonnée est superbe et assez facile (comprenez que c’était plat…)

Puis on commence à prendre de la hauteur, plus que jamais motivé par les paysages que l’on croise.

Après 4h de marche et 700m de dénivelé, on aperçoit enfin le lac

Dernier effort pour planter la tente… pas moche la vue depuis notre terrasse, non ?

Et on s’installe pour une sieste bien méritée.

Certaines personnes se baignaient, nous, on s’est contenté de tremper les pieds. On a par contre fait le tour du lac, pour admirer encore un peu plus par les pics des montagnes s’élevant au dessus de nous, et les « petites touffes d’herbe à la Mario » …

Le lendemain, on aura bien du mal à quitter ce lieu, et on trainera encore un peu avant de redescendre.

Bilan / Teaser : après le test d’étanchéité de la tente à Pucon, on a validé le test du port de sac de randonnée. On est maintenant prêt pour la célèbre randonnée du W de Torres del Paine !

On a gravi l’Everest… enfin presque!

Written by sophie. Posted in Nouvelle Zélande

L’aventure continue ! On remonte maintenant l’île du Sud par la côte Ouest, direction les glaciers Fox et Franz Joseph.

Sur la route, on fait une pause et on tombe par hasard sur une rivière « gelée ». La couleur de l’eau est due à sa température et à d’autres facteurs que nous n’avons pas forcément compris…

On roule un peu et on atteint la mer. La route est extraordinaire et fait passer la Great Ocean Road australienne pour le périph’ parisien.

Avant de s’attaquer aux sommets, on passe la nuit (comme souvent) au bord d’un lac dans l’un des « campground » géré par l’état.

Et c’est parti pour la visite ! On commence par la Rain Forest bordant le glacier. Pour votre information, il est extrêmement rare d’avoir ces deux environnements si proches l’un de l’autre. Cela est dû aux TRES TRES importantes précipitations dans le coin.

Et voici Brian ! Il a quitté sa cuisine pour nous servir de guide sur le glacier.

La coulée de glace au fond, c’est notre objectif.

Ça a l’air tout petit et ridicule sur la photo mais dès qu’on se rapproche un peu c’est nettement plus impressionnant.

On chausse les crampons et on avance prudemment sur la glace. On ne s’attendait pas à ce que se soit si dangereux ; certains passages sont vraiment délicats comme cette grosse crevasse que l’on a dû traverser.

Deux personnes de notre groupe ont disparu… Guillaume a perdu trois doigts…Brian s’est fait attaqué par le yéti…Bon, on espère que vous avez tous compris que la balade était en fait sans danger.

Après le grand ciel bleu à l’aller, on goûtera au vent et à la pluie au retour.

Deuxième jour et deuxième glacier. Nous voici maintenant à Franz Joseph. Plus grand mais moins accessible que le précédent, on parcourt la vallée pendant plusieurs kilomètres avant de l’atteindre.

En chemin, on passe devant d’innombrables cascades.

Et on l’aperçoit enfin !

Malheureusement, on ne pourra pas l’approcher à moins de 500m.

Le Mont Cook

Written by sophie. Posted in Nouvelle Zélande

Avant de parler du début de notre road trip en Nouvelle-Zélande, laissez nous vous présenter notre maison pour les 28 prochains jours.

Comme vous le constatez, nous avons presque tout le confort dans notre « chambre-salon-salle à manger-cuisine-et véhicule » de moins de 15 m3 ! Il ne manque que la « salle de bain », mais on est habitué à ne prendre qu’une douche tous les 2 jours maintenant…

 

On nous avait prévenu que les paysages de Nouvelle-Zélande étaient superbes. Et on n’est pas déçu par notre première étape : le lac Tekapo. Une eau « bleu lait » (Copyright S&G) avec vue sur des montagnes enneigées, le tout sous le soleil, on peut difficilement faire mieux.

Ce qui est impressionnant, c’est le côté « naturel, sauvage ». Pas de maison gâchant la vue, aucun bateau, très peu de touristes, bref, la liberté ! On a fait une randonnée de 4h, l’une des plus belle qu’on ait faite depuis 6 mois.

Petit aparté d’ailleurs pour dire que nous sommes arrivés à la moitié de notre tour du monde…ça passe vraiment vite.

 

Ici même la route est un vrai plaisir. On longe les lacs les rivières, on traverse des montagnes et des forêts enchantées…rien à voir avec nos bonnes autoroutes françaises !

On s’est ensuite rapproché des montagnes, plus particulièrement du mont Cook, le plus haut sommet de Nouvelle-Zélande. Et là encore, on en prend plein la vue. En deux randonnées d’une heure, on est a vu tellement de paysages somptueux différents qu’on ne sait même pas comment les décrire.

On a même fini par des paysages lunaires…

Spoiler : on n’a pas pu toucher la neige/glace cette fois-ci, mais ce n’est que partie remise : à suivre dans les prochains épisodes.