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Ilha Grande

Written by sophie. Posted in Brésil

La côte entre Sao Paulo et Rio est vraiment superbe, et l’on ne compte plus le nombre d’îles et îlots que nous avons aperçus depuis la vitre du bus. Malheureusement, notre temps est limité : nos étapes le sont donc aussi. 

Nous quittons le continent pour nous rendre sur  Ilha Grande,  la plus grande de ces îles : 200km², 1 seul village, 0 voiture !

Pour traverser l’île, il faut donc utiliser ses jambes…et ça grimpe !

On découvre alors des dizaines de plages, désertes / paradisiaques / colorées / immenses / ensoleillées. Malheureusement, nous n’avons jamais eu tous ces critères à la fois…

La plage la plus célèbre, Lopes Mendes, est quand même l’une des plus belle du littoral brésilien.

On doit vous avouer qu’on a un peu triché pour aller voir certains coins de l’île. On a « emprunté » un bateau afin de faire du snorkeling dans la Laguna Azul.

Une belle journée, même si les poissons n’étaient pas aussi beaux que l’on imaginait. On a donc plutôt profité du paysage !

 Pour nous, Ilha Grande restera surtout l’endroit où l’on a fêté nos noces de coton ! Et oui, ca fait plus d’un an maintenant…le temps est passé vraiment (trop?) vite.

La côte équatorienne

Written by sophie. Posted in Equateur

Le compte à rebours est lancé…moins d’un mois avant le retour !

Finis les randonnées et les musées, nous comptons passer ces derniers jours à la plage ! Il y aura certainement quelques exceptions à notre programme, mais entre la côte pacifique de l’Équateur et la côte atlantique du Brésil, on ne devrait pas avoir de mal à trouver notre bonheur.

On s’arrête donc à Puerto Lopez, un village connu pour :

- sa plage : sans être parfait, le cadre est quand même sympa…

 - son port, enfin plutôt les nombreux bateaux de pêche. Parce que nous n’avons pas vu réellement de port, mis à part un morceau de plage où des dizaines de bateaux étaient échoués.

En tout cas, le nombre d’oiseaux indique clairement que les bateaux ne sont pas là uniquement pour la décoration. La pêche reste encore l’une des activités principales des habitants.

- l’Isla de la Plata, surnommée également « les Galapagos des pauvres ». Si vous ne souhaitez pas vous ruiner à aller sur l’île la plus connue de l’Equateur/Amérique du Sud/monde, on vous conseille cette solution.

L’Isla de la Plata possède une faune et une flore extraordinairement riche, ou en tout cas extraordinairement inhabituelle. On a eu par exemple la chance d’être accueilli pas des énormes tortues venues danser autour du bateau.

On passe les détails logistiques pas forcément idéaux : tour organisé, temps limité sur l’île, randonnée en groupe obligatoire (pas la randonnée, le groupe !),… L’île étant protégée, on comprend ces mesures, et on se réconforte avec la vue.

On n’est habituellement pas fan des oiseaux, mais ceux que l’on a croisés nous ont un peu fait changer d’avis. A commencer par le fou à pattes bleues

On ignore encore les noms des autres espèces rencontrées, malgré les explications en espagnol de notre guide. On les appellera donc « l’oiseau-bain moussant »…

…et « le rouge gorge qui voulait devenir aussi gros que le bœuf ».

Et si l’on vous dit que ce que nous avions vu jusqu’ici n’était rien par rapport à ce qui nous attendait lors de la traversée-retour…

Et oui, des baleines à bosses nous ont « accompagnés » pendant quelques minutes !

Pas facile de prendre la photo au bon moment (et au bon endroit), et pourtant, on a eu de nombreuses occasions. Les meilleures images resteront donc dans nos têtes !

- le parc national Machalilla (si vous êtes perdu dans la lecture de cet article, souvenez vous que nous l’avons construit comme une liste des choses à voir à Puerto Lopez), et plus précisément la communauté d’Aqua Blanca. Outre l’histoire et le mode de vie de la communauté, c’est l’occasion de découvrir des paysages toujours impressionnants.

Quelques curiosités ont retenu notre attention, comme les arbre-cactus.

Arrêt obligatoire à Laguna Blanca (qui n’est plus blanche depuis plusieurs années) pour se tartiner de boue avant de plonger dans l’eau saturée en souffre. Il parait que c’est bon pour la peau…

- Toujours dans la parc Machalilla, la plus belle plage d’Equateur (selon certaines sources non objectives) : Los Frailes. C’est en fait une succession de 3 plages de sable fin, propres (ce qui est rare en Amérique du Sud), désertiques, dans un cadre magnifique. Parfait malgré les quelques nuages à l’horizon…

 -  les poissons grillés au barbecue, les tuk-tuk, l’hôtel avec terrasse, les croques-monsieur servis sur la plage,…il y a encore beaucoup à dire sur Puerto Lopez.

 

On termine cet article et notre périple en Equateur à Guayaquil, la capitale économique du pays. On nous avait dit beaucoup de mal  de cette ville : sans charme, rien à faire,… On a été positivement surpris.

A première vue, Guayaquil ressemble à une  ville européenne d’après-guerre : immeubles gris, larges avenues et rues étroites, et quelques bâtiments « anciens ».

Mais si on cherche un peu, on découvre sur la colline les vieux quartiers, dont les couleurs (et l’anarchie) rappellent Valparaiso.

Et d’en haut, on peut profiter de la vue.

Surtout, c’est l’un des rares endroits où l’on peut observer des iguanes en liberté en pleine ville ! Et ça, ça n’a pas de prix.

 

Lac Titicaca: Part 2 !

Written by sophie. Posted in Pérou

 Deuxième tour sur les îles du lac Titicaca, coté péruvien cette fois. On a décidé de passer un peu plus de temps que prévu dans le coin pour pouvoir dormir sur l’une des îles.

La majorité des personnes se limitent à visiter les célèbres « îles flottantes » : des plateformes construites en totora (un sorte de roseau) et qui, comme leur nom l’indique, flottent littéralement sur le lac.

Régulièrement, les habitants ajoutent des roseaux pour prolonger la durée de vie des îles, mais elle n’excède pas en général soixante ans… Il faut donc régulièrement les reconstruire. La sensation en sautant du bateau est étrange : on s’enfonce dans le sol, ça tangue (légèrement), et on ressent très rapidement un manque d’espace (100 m² environ). Impossible de fuir les 40 vendeurs/euses (mais comment sont-ils si nombreux sur un si petit îlot !) qui vous implorent avec de grands yeux de leur acheter n’importe quel bibelot ! Nous avons l’habitude : ils sont beaucoup moins insistants que les enfants cambodgiens à Angkor par exemple. Mais certaines de nos compagnons de voyage au Pérou ont craqué…

Vous l’aurez compris, ces îles sont depuis longtemps devenues des repères à touristes. En payant un peu plus, vous pourrez même faire un tour dans une embarcation de roseau à tête de dragon « traditionnelle » flambant neuve. On s’est contenté de prendre une photo gratuite à quai !

Nous avons décidé de poursuivre l’expédition un peu plus loin, et d’aller dormir sur l’île d’Amantani, bien moins fréquentée soit-disant.

On ne peut pas non plus dire qu’on était seul, mais l’île a gardé un aspect tranquille vraiment agréable.

Particularité : vous ne pouvez pas choisir où vous dormirez. Le logement est en effet organisé de manière collective, sur un système rotatif : chacun accueille les touristes à son tour, et toujours au même prix ! Les conditions sont rudimentaires (pas de douche, toilettes dans le jardin,…) mais la vue est exceptionnelle.

On a été accueilli par Juana, avec laquelle nous aurions eu des discussions passionnantes si nous connaissions un peu plus de 3 mots d’espagnols… On a quand même a peu près compris que les 8 sortes de pommes de terre ou autres tubercules dans l’assiette provenaient toutes de son jardin (ou de celui du voisin).

A peine le temps de digérer, on part admirer le coucher de soleil depuis l’un des deux sommets de l’île : le Pacha Tata.

 Après 1h30 d’effort (ça monte vraiment, même si les photos n’en donnent pas l’impression), des nuages cacheront le soleil juste au moment du coucher. Tant pis…Ces nuages se transformeront d’ailleurs rapidement en un bon gros orage : « fête du village » annulée !

 

Nouveau jour, nouvelle île : Taquile. Le principe : le bateau vous dépose à un bout de l’île, vous marchez pendant 2h jusqu’à l’autre bout.

On vous conseille de le faire du Sud vers le Nord (ou l’inverse, on ne sait plus), pour descendre les centaines de marches de l’escalier final plutôt que de les monter. De l’autre coté, ça monte en pente douce.

D’un autre coté, ça nous aurait fait un bon entraînement pour le Machu Picchu. Mais ceci est une autre histoire…patience !

Lac Titicaca, Part 1

Written by sophie. Posted in Bolivie

Nous nous dirigeons maintenant vers Copacabana…au bord du lac Titicaca. Rien à voir donc avec son homonyme brésilienne, quoique… le nom de la célèbre plage vient précisément de ce petit village bolivien.

Une réplique de la célèbre vierge noire (autrement appelée Notre Dame de Copacabana, patronne de la Bolivie), abritée dans la cathédrale de la ville bolivienne, a été construite au XIXème siècle dans une chapelle du quartier brésilien, par un marin bolivien pour remercier la vierge de l’avoir sauvé d’une tempête au large de Rio de Janeiro, donnant son nom au quartier et à la plage.  Vous suivez toujours ?

Bref, la cathédrale en question, la voici !

C’est l’un des centres de culte et de pélerinage les plus importants d’Amérique du Sud, et le symbole du mélange entre la religion catholique et les croyances locales précolombiennes. On peut par exemple y voir des bénédictions de voitures à l’eau bénite, un peu surréalistes…

Photos interdites de la statue de la vierge : vous saurez seulement qu’elle est de type indienne (ce qui a expliqué sa popularité immédiate), et qu’elle change de tenue tous les 3 mois !

Après cet introduction culturelle, place aux paysages magiques du lac. Il faut près d’une heure d’effort pour arriver en haut de la colline qui surplombe la ville et profiter d’un premier point de vue sur le lac.

De loin, la plage qui longe la ville semble agréable, mais c’est qu’on ne voit pas les déchets qui l’envahissent malheureusement. Dommage.

Il faut donc s’éloigner de la côte pour vraiment profiter du lac, direction la Isla del Sol (île du soleil bien sûr).

Non, ce n’est pas cet îlot, mais bien la grande île un peu après.

Après avoir débarqué, une ballade incroyable vous attend, au sommet des montagnes et au milieu de ruines incas, d’animaux et d’eau ! On vous laisse vous y promener à travers quelques photos, sans commentaire…

C’était notre dernière étape en Bolivie, un pays qui nous a énormément plu, par sa culture et ses paysages. Définitivement dans le Top 5 des pays traversés depuis le début !

De Brisbane à Cairns

Written by sophie. Posted in Australie

 Bizarrement, on a eu Internet gratuit et illimité partout en Asie (même au fin fond du Laos), mais en Australie, on a eu beaucoup plus de mal! Notamment parce qu’on est passé en mode « road trip » : on a parcouru le pays en voiture, avec notre tente dans le coffre. On a donc peu été dans des hôtels / guesthouse… De toute façon, la grande majorité ne proposent pas Internet gratuit.

Ceux qui ont lu attentivement ont remarqué qu’on parlait de notre séjour en Australie au passé…Et effectivement, on en parle pour la première fois alors qu’on vient de prendre notre avion pour la Nouvelle Zélande ! On va donc essayer de rattraper notre retard en limitant le nombre d’articles. Mais rassurez vous, il seront plus long que d’habitude.

Première partie de notre itinéraire : la côte Est, de Brisbane à Cairns en 10 jours.

Brisbane, la ville où nous sommes arrivés, nous a vraiment plu. C’est la première fois depuis notre départ qu’on se dit qu’on aimerait bien y vivre…si ce n’était pas à l’autre bout du monde.La ville est aérée, propre, belle, tranquille, et même s’il n’y a pas grand chose à visiter, on envie le rythme de vie des habitants.

Notre impression est peut être un peu faussée, car nous y étions en plein été, sous le soleil, et pendant la période de Noël. On a pu voir des sapins et décorations un peu partout dans les rues (un peu perturbant pour nous alors que nous nous promenions en Tee-shirt…), des chorales « à l’américaine » interprétant des chansons de Noël, et même des « châteaux de sable » de Noël. 

 Et oui, car la ville a aménagé un lagoon pour les habitants : c’est une grande piscine découverte bordée de palmiers, entourée de plage, au centre d’un parc suffisamment grand pour que personne ne se marche dessus… et gratuite. C’est autre chose que Paris Plage…

On y a aussi fait de la plongée…

Bon ok, c’est seulement une photo d’une reproduction de la vie sous-marine prise dans un musée…mais c’est assez ressemblant…

On est ensuite parti dans la Sunshine Coast, à Noosa. Arrêt rapide pour profiter de la plage : ca faisait quand même plus d’une semaine qu’on n’avait plus eu l’occasion d’y aller. Au final, la mer était déchaînée, le sable super fin…et il faisait beaucoup trop froid pour se baigner. 

On est tombé complètement par hasard sur la ville de Mary Poppins. On cherchait juste un lieu pour dormir. La personne du centre d’information était tellement gentille qu’on s’est senti obligé de faire un tour sur les traces de l’écrivain, Pamela Lyndon Travers : c’est en effet à Maryborough qu’elle est née et a vécu. 

 Nouvelle journée et nouvelle étape : Frazer Island. C’est la plus grande île de sable du monde (120 km de long) ; il n’y a aucune route goudronnée. On a donc rejoint un groupe pour faire le tour de l’île en « bus 4×4 ».


Tous les routards nous ont dit que c’était le plus bel endroit du Queensland (comprenez de la côte Est). Et c’est vrai que les paysages sont pas mal… 

 Après une baignade dans un lac intérieur paradisiaque, on a vu une épave de bateau : c’est un ancien paquebot australien, en fin de vie, vendu aux japonais et qui s’est échoué durant le voyage vers le Japon… Quoi, vous vous en foutez vous aussi ? On ne fait malheureusement pas ce que l’on veut quand on voyage en groupe… 

Heureusement, on a ensuite fait une superbe ballade dans une rivière menant à la mer : une activité typiquement australienne, sauf qu’eux ont des bouées (et des bières en général).

 L’île est aussi le seul endroit du Queensland où l’on peut voir les Dingos, des chiens sauvages.

 Notre guide nous a dit en début de journée qu’on avait de la chance car la journée se terminerait plus tard que d’habitude. On n’a pas bien compris pourquoi…jusqu’à ce qu’on retourne au bateau et qu’on voit que l’île était inaccessible à marée basse, et qu’il fallait attendre que l’eau remonte un peu pour passer…

 Et on continue notre périple (et l’article) avec une plage dont on a oublié le nom, mais où l’on a pu voir pour la première fois les surfeurs australiens en action…encadrés par les Lifeguard blond platine !

Nouvelle arrêt : Airlie Beach et les WhitSundays Islands. Après un tour sur les pontons longeant la côte…

 … on s’est fait un ami en revenant à notre tente (pas de commentaires sur le côté « romano » de notre installation svp)

On embarque (encore) pour une mini-croisière à travers les îles. Et franchement, de toutes les mers qu’on a vues depuis le début de notre voyage, c’est vraiment ici que l’eau est la plus belle. Pas forcément la plus claire, mais d’une couleur bleue turquoise incroyable.

Et le sable est également le plus fin et le plus blanc…bref, vous aurez compris, on a bien aimé !

Encore un nouvel ami : ici, les animaux sauvages ne sont vraiment pas …sauvages.

Quelques heures de route en plus. Au final, on aura fait 3000 km en 6 jours : c’est grand l’Australie.
Petit jeu concours : quel est l’animal représenté sur le panneau ? 

Comme ça nous manquait un peu, on s’est à nouveau arrêté sur une plage. Ici, interdiction de se baigner à cause des méduses « mortelles ». Heureusement, il est quand même possible d’aller dans l’eau à certains endroits : un filet a été installé pour les arrêter.

Avant de rendre la voiture, on a quand même fait quelques photos…

…et fini notre bouteille de rhum birman !

On a ensuite passé 3 jours à Cairns, mais pour on ne sait quelle raison, on a oublié de prendre des photos. Sachez quand même qu’on a plongé dans la Grande Barrière de Corail. Il y a moins de poissons qu’en Thaïlande, mais la flore est vraiment superbe !

Une semaine de repos à Langkawi

Written by sophie. Posted in Malaisie

Initialement, la Malaisie devait être un simple passage entre la Thaïlande et Singapour (où nous attend un vol pour l’Australie) : nous avions prévu de passer seulement quelques jours à Kuala-Lumpur.

Mais comme on est en avance sur le planning, on a fait un arrêt supplémentaire sur une île. Deux objectifs  : rester au même endroit pendant une semaine, parce qu’à la longue, les changement d’hôtels tous les 2 jours, c’est fatigant. Et ne pas faire grand chose…

On a donc profité de la plage matin, après-midi et soir : même si l’eau est moins clair qu’en Thaïlande,  le sable est fin et la vue est superbe.

On pourrait presque se croire en Bretagne, s’il n’y avait pas les cocotiers…

 

On s’est quand même éloigné 2 fois de notre plage. La première fois, en louant une moto pour parcourir l’île : on n’a pas regretté. A Langkawi, en une journée, vous pouvez :

- vous baigner dans des bassins d’eau douce (après avoir gravi héroïquement les 350 marches pour y accéder)

 

- faire du canyoning dans ces mêmes bassins

 

 - photographier des singes venus se désaltérer (encore dans ces mêmes bassins)

 

- voir la cascade et estimer la durée de la chute que vous auriez faîte si vous étiez tombé lorsque vous vous baigniez (oui, toujours dans les mêmes bassins)

 

- vous imaginer aux sports d’hiver en prenant les œufs pour atteindre le sommet de l’île.

 

- tenter d’apercevoir « votre » plage au loin et vous préparer psychologiquement à vous prendre une bonne averse quand vous remonterez sur la moto en observant les nuages (on aurait dû s’y préparer un peu mieux…)

 

- vous promener sur un pont piéton qui ne même nul part…ou prendre une photo de ce pont s’il est fermé pour rénovation depuis 10 mois.

 

- apprendre pourquoi le sable de cette plage, appelée à juste titre « Black Sand Beach », est noir.

 

- et faire 50km de plus pour trouver un « vrai » supermarché et acheter de la pâte à tartiner au chocolat, des céréales que vous pensez être au chocolat mais qui sont en fait à la noix de coco, et une tablette de chocolat. On vous laisse deviner ce dont on avait envie à ce moment là…

 

Notre deuxième expédition est un tour de bateau, pour voir les îles autour de Langkawi. On embarque donc sur une barque, en se préparant à y passer comme d’habitude 1h30 avant d’atteindre la première île. Sauf que les malaisiens ont mis des moteurs de hors-bord (et non de tondeuse à gazon comme les thaïlandais) sur leur bateau : on s’est demandé si on n’allait pas chavirer à la moindre vague, mais on a  mis à peine 10 min !

 

On se retrouve donc sur une île renfermant un lac naturel. Et comme on n’en a jamais assez : on s’est encore baigné !

 

On fait ensuite une courte escale pour assister au « repas des aigles ». Le « captain » jette des morceau de poisson dans l’eau, et des aigles viennent les manger… sans grand intérêt, mais comme on a réussi à prendre une photo non floue d’un aigle en vol, on la publie ici.

 

Dernière escale de la journée sur une plage où l’eau est (enfin!) turquoise. On y retrouve avec plaisir nos amis touristes chinois qui poussent le vice jusqu’à se baigner avec leur parapluie !

 

Et voilà, semaine terminée ! On quitte pour de bon les îles asiatiques, pour (re)découvrir la frénésie des grandes villes…

Koh Phi Phi

Written by sophie. Posted in Thaïlande

 Troisième et dernière île que nous avons faite en Thaïlande: Koh Phi Phi (prononcer kopipi).

Koh Phi Phi était une île paradisiaque, au calme, avec juste quelques bungalows au bord de l’eau… (pour ceux qui ont vu le film c’est là que « The Beach » avec Leonardo Dicaprio a été tourné) et puis un jour une énorme vague est venue tout ravager!!

Un an après la catastrophe, les hotels avaient poussé comme des champignons et la petite île tranquille était passé du coté obscur du tourisme… Trop de monde, trop de bruit, des prix qui atteignent des records en Thaïlande, une eau plus très turquoise à cause de tous les bateaux présents… bref ce n’est pas notre île préférée dans les environs.

Toutefois si vous aimez la plongée (ou si vous êtes un clubber) il ne faut pas hésiter. Les fonds marins sont vraiment exceptionnels et l’eau claire comme nul par ailleurs dés qu’on s’éloigne un peu de l’île! Bon par contre vous ne serez pas tout seul au pays de Nemo…

 On a décidé de ne rester que 2 nuits là-bas, le temps d’une petite plongée. On s’est trouvé un bungalow à l’extérieur de la ville.

La vue était plutôt sympa…

Le lendemain matin on est parti plonger! On n’a pas rencontré de requin mais on a vu un couple de tortue!! C’est toujours aussi magique sous l’eau!

Petite pensée pour Juju: notre dive master était le sosie d’Alex! Il n’a pas un cousin moniteur de plongée en Thailande par hasard?

L’après-midi on se repose au bord de l’eau…

Et le soir: apéro au bungalow!

 Notre passage sur l’ïle aura été rapide mais notre visa expirait le lendemain. On a donc dû partir rapidement vers la Malaisie!

Koh Lanta

Written by sophie. Posted in Thaïlande

Débarqué sur une île déserte avec pour seul équipement leur sac, l’équipe rouge doit se frayer un chemin en canoé à travers les Mangroves, un marais maritime, carectéristique des littoraux tropicaux, principalement constitué de palétuviers.

 

 

Après 2h d’efforts, ils arrivent enfin à leur campement. Ils y trouvent ce qui constituera leur premier repas : des crabes multicolores ayant une pince (une seule) plus grosse que leur corps. 

 

Ils ont alors le privilège de contempler le coucher de soleil sur leur plage

 Non, on n’a pas participé au jeu de TF1 désolé. On est par contre allé sur l’île qui lui a donné son nom, au Sud Ouest de la Thaïlande.

Pour être plus précis, le jeu s’est déroulé sur une petite île proche de Koh Lanta… Mais, vu la fréquentation, difficile de croire que les « aventuriers » n’ont pas vu un bateau / une personne pendant leur séjour…

 

 Bref, on a trouvé un hôtel (presque) sur la plage. L’eau est moins turquoise qu’à Koh Tao, mais la vue est magnifique !

 

Même si on n’est pas fan des excursions organisées, comme il est impossible (enfin trop cher) de louer un bateau privé, on a décidé de rejoindre un groupe pour faire le tour de 5 des nombreuses îles autour de Koh Lanta. Au programme :   baignade avec les poissons et bronzette sur des plages paradisiaques.

  

On a dû prendre 50 photos sous l’eau…entre celles qui sont floues, celles mal cadrées, etc…., voilà la meilleure !

 

On est aussi allé se baigner dans un grotte, qui débouche sur une petite plage, un peu comme si on arrivait dans le cratère d’un volcan… S’il n’y avait pas 150 personnes autour de nous, ca aurait été magique. Notez quand même qu’on est assez doué pour prendre des photos vous laissant croire qu’on est toujours tout seul…

 Et c’est reparti pour un tour de bateau,direction une autre île.

 Le temps d’une nouvelle baignade au milieu des poissons, et des oursins…

 

Pour finir, 2 autres couchers de soleil, parce qu’on ne s’en lasse pas! ! 


Koh Tao

Written by sophie. Posted in Thaïlande

Après plusieurs mois passés loin de la mer, voici venu le temps des îles paradisiaques thaïlandaises. La première sera Koh Tao, sur la côte est.

Le mois de novembre marque normalement le début de la mousson sur cette île mais comme c’est la plus réputée pour la plongée, on décide de braver les éléments et de passer notre premier niveau ici, coûte que coûte.

A notre arrivée: surprise! La mousson a décidé de venir en retard. On découvre donc une charmante petite île, ses plages de sable blanc bordées de cocotiers, son eau à 30°, turquoise, limpide et remplie de poissons multicolores… le paradis quoi!

 Le premier jour, une fois notre inscription dans un centre de plongée faite, on loue une moto pour faire le tour des plages de l’île. 

Et comme ça serait vraiment dommage de ne pas en profiter à fond, on s’achète un masque, un tuba et une housse waterproof pour notre vieux appareil photo compact!! Les photos sont vraiment pas terrible mais on s’amuse bien!

La suite de notre séjour sera consacrée à notre premier niveau de plongée. On enchaîne cours théoriques et plongées pendant 3 jours. Au total: 6 plongées pendant 48h!! La pluplart du temps, on fait pas mal d’exercices sous l’eau comme enlever son masque et le vider, enlever son gilet, ses poids, perdre son détendeur, travailler sa flottabilité et tous les exercices en cas de panne d’air possibles et imaginables! Mais comme on est que 2 avec notre instructrice, on a du temps pour aller découvrir le monde de Némo et nager avec les tortues…

En souvenir, la photo de notre bateau de plongée.

 A la fin de notre séjour, on prend le bateau de nuit pour rejoindre la terre ferme.

 Prochaine étape: Koh lanta!

 

Les 4000 iles

Written by guillaume. Posted in Laos

Après 15h de bus (départ 5h du mat et arrivée à 20h) et un passage de frontière plus que douteux: pas besoin de descendre du bus ni de voir un douanier, quelqu’un s’occupe de tout pour nous… nous arrivons enfin au sud du Laos. Nous n’avons plus qu’à traverser le Mékong pour rejoindre notre objectif: l’ile de Don Khone.

Une fois sur place, on se trouve un petit Bungalow avec vue sur la rivière et c’est parti pour 2 jours de repos bien mérités après Angkor et le long voyage.

On ne va tout de même pas rester totalement inactif et en fin d’après midi, quand la température devient supportable on part explorer l’île. On se retrouve devant les Chutes de Khone.

Cela ressemble plus à un ensemble de rapides mais c’est très impressionnant!Un des plus grands débits du monde selon Wikipédia ;)

Sur le chemin du retour on traverse de beaux paysages de rizières.

Cette balade de 2h nous a bien fatigué… heureusement nos hamacs nous attendent sur la terrasse!

Le lendemain on loue des vélos pour aller sur l’île de Don Det, accessible via un ancien pont construit par … les français.

On fait le tour complet de l’île (faut dire que c’est pas très grand). On longe d’abord le Mékong.

Puis, on traverse de petits villages.

Avant de revenir à notre point de départ.

 Si un jour vous avez besoin de repos, la région des 4000 iles est faite pour vous. Ici pas de stress, tout est calme voire très lent et les paysages sont magnifiques.