Posts Tagged ‘Plage’

Ilha Grande

Written by sophie. Posted in Brésil

La côte entre Sao Paulo et Rio est vraiment superbe, et l’on ne compte plus le nombre d’îles et îlots que nous avons aperçus depuis la vitre du bus. Malheureusement, notre temps est limité : nos étapes le sont donc aussi. 

Nous quittons le continent pour nous rendre sur  Ilha Grande,  la plus grande de ces îles : 200km², 1 seul village, 0 voiture !

Pour traverser l’île, il faut donc utiliser ses jambes…et ça grimpe !

On découvre alors des dizaines de plages, désertes / paradisiaques / colorées / immenses / ensoleillées. Malheureusement, nous n’avons jamais eu tous ces critères à la fois…

La plage la plus célèbre, Lopes Mendes, est quand même l’une des plus belle du littoral brésilien.

On doit vous avouer qu’on a un peu triché pour aller voir certains coins de l’île. On a « emprunté » un bateau afin de faire du snorkeling dans la Laguna Azul.

Une belle journée, même si les poissons n’étaient pas aussi beaux que l’on imaginait. On a donc plutôt profité du paysage !

 Pour nous, Ilha Grande restera surtout l’endroit où l’on a fêté nos noces de coton ! Et oui, ca fait plus d’un an maintenant…le temps est passé vraiment (trop?) vite.

Un petit coin de Paraty

Written by sophie. Posted in Brésil

Le jeu de mot est facile, on vous l’accorde. Mais le titre correspond tellement à ce que l’on a vécu à Paraty qu’on ne pouvait pas passer à côté.

Imaginez…une plage déserte, dont le sable est si fin qu’il crisse sous les pieds. 

 Imaginez…quelques rochers érodés par le temps, d’où l’on peut observer les îles verdoyantes à l’horizon.

 Imaginez…des criques reculées aux eaux turquoises pleines de poissons.

Et oui, vous voilà à Paraty ! Enfin, pour être exact, sur la plage de Trindade, à 30 minutes de bus.

Le village vaut aussi le détour, même si ça fait un peu « ville musée » avec les canaux, les ruelles pavées et les maisons colorées !

En bonus : une dernière photo, « artistique » !

 

La côte équatorienne

Written by sophie. Posted in Equateur

Le compte à rebours est lancé…moins d’un mois avant le retour !

Finis les randonnées et les musées, nous comptons passer ces derniers jours à la plage ! Il y aura certainement quelques exceptions à notre programme, mais entre la côte pacifique de l’Équateur et la côte atlantique du Brésil, on ne devrait pas avoir de mal à trouver notre bonheur.

On s’arrête donc à Puerto Lopez, un village connu pour :

- sa plage : sans être parfait, le cadre est quand même sympa…

 - son port, enfin plutôt les nombreux bateaux de pêche. Parce que nous n’avons pas vu réellement de port, mis à part un morceau de plage où des dizaines de bateaux étaient échoués.

En tout cas, le nombre d’oiseaux indique clairement que les bateaux ne sont pas là uniquement pour la décoration. La pêche reste encore l’une des activités principales des habitants.

- l’Isla de la Plata, surnommée également « les Galapagos des pauvres ». Si vous ne souhaitez pas vous ruiner à aller sur l’île la plus connue de l’Equateur/Amérique du Sud/monde, on vous conseille cette solution.

L’Isla de la Plata possède une faune et une flore extraordinairement riche, ou en tout cas extraordinairement inhabituelle. On a eu par exemple la chance d’être accueilli pas des énormes tortues venues danser autour du bateau.

On passe les détails logistiques pas forcément idéaux : tour organisé, temps limité sur l’île, randonnée en groupe obligatoire (pas la randonnée, le groupe !),… L’île étant protégée, on comprend ces mesures, et on se réconforte avec la vue.

On n’est habituellement pas fan des oiseaux, mais ceux que l’on a croisés nous ont un peu fait changer d’avis. A commencer par le fou à pattes bleues

On ignore encore les noms des autres espèces rencontrées, malgré les explications en espagnol de notre guide. On les appellera donc « l’oiseau-bain moussant »…

…et « le rouge gorge qui voulait devenir aussi gros que le bœuf ».

Et si l’on vous dit que ce que nous avions vu jusqu’ici n’était rien par rapport à ce qui nous attendait lors de la traversée-retour…

Et oui, des baleines à bosses nous ont « accompagnés » pendant quelques minutes !

Pas facile de prendre la photo au bon moment (et au bon endroit), et pourtant, on a eu de nombreuses occasions. Les meilleures images resteront donc dans nos têtes !

- le parc national Machalilla (si vous êtes perdu dans la lecture de cet article, souvenez vous que nous l’avons construit comme une liste des choses à voir à Puerto Lopez), et plus précisément la communauté d’Aqua Blanca. Outre l’histoire et le mode de vie de la communauté, c’est l’occasion de découvrir des paysages toujours impressionnants.

Quelques curiosités ont retenu notre attention, comme les arbre-cactus.

Arrêt obligatoire à Laguna Blanca (qui n’est plus blanche depuis plusieurs années) pour se tartiner de boue avant de plonger dans l’eau saturée en souffre. Il parait que c’est bon pour la peau…

- Toujours dans la parc Machalilla, la plus belle plage d’Equateur (selon certaines sources non objectives) : Los Frailes. C’est en fait une succession de 3 plages de sable fin, propres (ce qui est rare en Amérique du Sud), désertiques, dans un cadre magnifique. Parfait malgré les quelques nuages à l’horizon…

 -  les poissons grillés au barbecue, les tuk-tuk, l’hôtel avec terrasse, les croques-monsieur servis sur la plage,…il y a encore beaucoup à dire sur Puerto Lopez.

 

On termine cet article et notre périple en Equateur à Guayaquil, la capitale économique du pays. On nous avait dit beaucoup de mal  de cette ville : sans charme, rien à faire,… On a été positivement surpris.

A première vue, Guayaquil ressemble à une  ville européenne d’après-guerre : immeubles gris, larges avenues et rues étroites, et quelques bâtiments « anciens ».

Mais si on cherche un peu, on découvre sur la colline les vieux quartiers, dont les couleurs (et l’anarchie) rappellent Valparaiso.

Et d’en haut, on peut profiter de la vue.

Surtout, c’est l’un des rares endroits où l’on peut observer des iguanes en liberté en pleine ville ! Et ça, ça n’a pas de prix.

 

Sea, Surf & Sun

Written by sophie. Posted in Pérou

Mine de rien, ça faisait 3 mois qu’on n’avait pas vu la mer, enfin plutôt qu’on n’avait pas vu la plage. On n’a donc pas hésité à y passer une semaine dès que l’occasion s’est présentée !

Nous avons d’abord passé quelques jours à Huanchaco, mais la mer étant trop froide, nous sommes remontés vers l’équateur (la ligne, pas le pays) jusqu’à Mancora, une « célèbre » station balnéaire au Nord du Pérou, réputée pour… le Surf !

C’est donc avec courage que Guillaume a loué une planche pour la deuxième session surf de sa vie. On ne vous cache rien, ce fut un échec total. Après avoir galéré pendant 15 minutes et s’être fait retourner comme un crêpe par des gros rouleaux pour passer « derrière les vagues », il n’a malheureusement pas réussi à bien prendre la vague…et s’est pris juste derrière  un n-ième rouleau et sa planche dans la tête !  20 minutes et un nouvel essai plus tard, il a dû se rendre à l’évidence : si Mancora est réputée pour les surfeurs, c’est que les vagues sont (beaucoup) trop grosses pour les débutants !

Pendant ce temps-là, Sophie se marrait sur la plage et prenait des photos…

On s’est donc contenté de bronzer sur la plage et de se baigner, toujours dans les vagues.

 Sans oublier le traditionnel coucher de soleil sur l’océan, une bière à la main !

Premiers pas en Amérique du Sud

Written by sophie. Posted in Chili

Nouveau continent, le dernier avant de rentrer ! On a quand même 5 mois pour en profiter : on n’en fera pas le tour, mais on compte bien en faire une bonne partie.

Ça commence par le Chili, plus précisément par sa capitale, Santiago. On vous cache pas que notre première impression de la ville a été…mitigée. Rues sales, trottoirs défoncés, tags sur les murs…on n’était plus habitué depuis 2 mois…

Mais très rapidement, on a également ressenti l’ambiance décontractée et chaleureuse des villes d’Amérique latine dont on nous avait parlé.

La « plaza de Armas » dans le centre ville en est un parfait exemple. On a passé une heure à regarder les marchands ambulants, les joueurs d’échec, les peintres et… les diseuses de bonne aventure.

On a aussi visité un musée sur l’histoire du Chili : ça devait sûrement être très instructif, mais comme les explications n’étaient qu’en espagnol, on a été un peu limité.

Comme il n’y a quand même pas grand chose à faire à Santiago, on est parti assez vite vers Valparaiso, ville côtière à 2h de bus de Santiago. Les gens la décrivent souvent comme une ville bohème, gaie et pleine de charme…Et c’est vrai ! On découvre en se promenant dans de petites ruelles sinueuses des centaines de maisons colorées , réparties sur les différentes collines de la ville.

On testera (par curiosité, pas du tout par flemme bien sûr) l’un des « ascenseurs » encore en fonctionnement, qui permet de réduire le nombre de marche à gravir dans la ville.

Mais on retiendra surtout de Valparaiso la soirée que l’on a passé à l’auberge ! On n’avait pas trop eu l’occasion d’en faire en Australie et Nouvelle-Zélande ; ca nous a donc vraiment fait plaisir de faire semblant de comprendre les chiliens parlant uniquement espagnol, de récupérer les bons plans auprès d’une finlandaise et d’un américain, de fêter l’anniversaire du gérant de l’auberge, de se foutre de l’accent de québécois et de débattre des sujets socio-politiquo-économiques avec des français ! Le tout autour de pisco, bières et vin chilien jusqu’à 7h du matin.

 

Le lendemain, on partira sur l’une des plages de Viña del Mar, une « station balnéaire » à quelques kilomètres de Valparaiso, pour bronzer (et dormir) un peu !

La péninsule de Coromandel

Written by sophie. Posted in Nouvelle Zélande

Pour la région la plus touristique de Nouvelle Zélande, on a eu le droit à 2 jours de la pluie. Ça ne nous a pas empêché de faire encore de nouvelles expériences.

Une petite promenade le long de la côte nous amène tout d’abord à Cathedral Cove.

Il a ensuite fallu attendre la marée basse de la Hot Water Beach pour profiter de l’attraction du coin : créer son propre jacuzzi sur la plage. L’activité volcanique à cet endroit réchauffe en effet l’eau de mer. Il suffit donc de creuser un trou pour que l’eau chaude remonte. Ça vous fait rêver ? Nous, on a un peu déchanté lorsque l’on a vu que notre « zone de confort » était vraiment réduite…

La côte Ouest

Written by sophie. Posted in Nouvelle Zélande

Encore des sports « extrêmes » dans cet épisode…

On reprend la route pour aller aux Waikomo Caves. Et c’est parti pour 3h d’aventures dans les profondeurs de ces grottes. L’originalité ? Le parcours se fait une bouée sous les fesses. Pour ceux qui nous suivent attentivement depuis le début, vous reconnaitrez ce que l’on appelle le « tubing ». On se promène donc dans les dédales obscures, guidé par une lampe frontale…qui n’éclaire pas grand chose.

Encore une fois, on manque de photos pendant l’action…en voici quand même une à l’arrivée !

Puis on arrive à Raglan. On n’avait pas eu le temps d’essayer en Australie, on se rattrape donc : let’s go Surfing !

On a la chance de trouver un prof indépendant qui nous prend en cours particulier. Les vagues sont idéales ( la région est connue pour ça…). Et après quelques essais allongés et à genoux pour apprendre à « catch the wave », on arrive à se lever ! Sensation incroyable de glisser sur l’eau : ca nous donne envie de réessayer plus tard.

On en profitera aussi pour se balader  sur une des plus belles plages de sable noir du pays.

 

Top 8 des immanquables à Sydney

Written by sophie. Posted in Australie

1) Se promener dans le jardin botanique, atteindre le bord de mer, « admirer la superbe vue », et découvrir l’Opéra de Sydney.

2) Prendre un bateau pour se rendre à Taronga, profiter de la traversée pour prendre une photo de l’Opéra, puis se promener sur la côte.

3) Plutôt que de visiter l’Opéra, avoir la bonne idée de réserver une place pour un concert de Soul Music d’une inconnue (Sharon Jones pour nous…) : plutôt une bonne surprise !

4) (Re)venir à la Marina de nuit, pour prendre une photo… de l’Opéra de Sydney ! (Promis, on arrête avec l’Opéra)

5) Louer une voiture et partir dans les « Blue Mountains » : un grand canyon version australienne, dont le nom provient de la brume bleutée qui le recouvre. Cette brume est due à l’évaporation d’huile d’eucalyptus (ne nous en demandez pas plus).

6) Reprendre un bateau, direction Manly, se baigner hors des zones autorisées et se faire gentiment sortir de l’eau par une lifeguard. Evidemment, une photo du pont de Sydney lors de la traversée s’impose…

7) Boire une bière dans un pub typiquement australien, brassant lui-même sa bière.

8) Dernier point, le plus important bien sûr, faire parcourir 13000 km à ses (beaux-)parents pour faire tout ça avec eux !

Road trip: part 2

Written by sophie. Posted in Australie

Après un vol interne Cairns-Alice Springs, on récupère notre 2ème voiture. Objectif : traverser le désert australien vers le Sud jusqu’à Adélaïde, puis rejoindre Melbourne. Soit 3500 km en 10 jours.

On profite de notre nuit en camping pour cuisiner (bon ça reste basique). On dort grosso modo une nuit sur deux en camping, l’autre dans des « Rest Areas » gratuites…mais sans douche !

C’est ici qu’on découvrira les pigeons à houppette ; ça les rend beaucoup plus sympas que les pigeons parisiens.

Avant de prendre la route, on visite le parc naturel d’Alice Springs.


On y apprendra quelles sont la faune et la flore du désert australien, et on aura même le droit de toucher un kangourou !

On nous expliquera aussi comment les aborigènes survivaient (et survivent encore pour certains soit disant) dans le désert : trouver de l’eau et de la nourriture, fabriquer des outils,…

Et c’est parti pour la grande traversée. On nous a conseillé maintes fois de prendre suffisamment d’eau et de nourriture « au cas où vous auriez un problème avec la voiture ». On prend donc 15 litres, soit « de quoi tenir 7h, temps moyen pour être dépanné »…


Une photo plus loin (ca nous a pris 2 jours pour y arriver), nous voilà à Uluru. C’est un gros rocher au milieu du désert : sacré pour les aborigènes, aux couleurs et formes incroyables pour les touristes.


On en fera le tour à pied, en 3h. Pour éviter de marcher sous 43°C, on commencera au lever du soleil, vers 7h du matin.

Le lendemain, nouvelle randonnée, au mont Kata Tjuta, et plus précisément dans la « Valley of the Wind ». Rebelote : on part à à l’aube…et on découvre que les Rangers du parc pensent comme nous.


Le trek est plus sportif que la veille.

On est même parfois obligé d’escalader les obstacles.

Mais le résultat en vaut la peine ; même si c’est moins impressionnant qu’Uluru, on a vraiment apprécié le fait de se glisser entre les rochers.

Avec Phil Rooj  bien sûr !

Une question se pose ensuite. Nous sommes le 24 décembre, et nous sommes perdus au milieu du désert…et quand on dit perdu, c’est que la plus grande ville à 1000 km à la ronde abrite 1300 personnes, la deuxième… 53 !

On décide donc de rejoindre Coober Pedy, espérant y trouver un restaurant typique pour y manger un steak de kangourou et du vin australien. Finalement, on ira dans le seul restaurant ouvert ce soir là…une pizzeria ! On regrette un peu le fois gras et le saumon fumé…

Le lendemain matin, on assistera à la messe de Noël dans une petite église enterrée. Et oui, car la particularité de Coober Pedy, c’est que les habitants ont construit leurs habitations dans les dunes pour se protéger de la chaleur. On sera ensuite invité chez le curé pour le petit déjeuner !


La ville a été construite suite à la découverte d’Opale dans la région. On voulait visiter une mine, mais on avait pas calculé que le 25 décembre, les gens ne travaillent pas…On reprend donc la route, toujours vers le Sud.

En chemin, on avait prévu de déjeuner au bord d’un lac, indiqué sur la carte. Une fois sur place, la couleur suspecte de « l’eau » (et un panneau explicatif) nous apprendra qu’il s’agit d’un lac de sel , immense.

On arrive alors à Port Augusta, ville qui marque la fin de la Highway 1, c’est à dire de notre traversée du désert. Et la première chose qu’on fait, c’est de nous acheter nos cadeaux de Noël !

On part ensuite à la découvert de la Barossa Valley, l’une des régions viticoles les plus connues d’Australie.

Même si les paysages valent le coup d’œil, on est surtout là pour faire le tour des domaines et déterminer si le vin français est en péril… On s’est concentré principalement sur le Shiraz, cépage le plus réputé de la région (même si on a fait quelques entorses avec des cabernets-sauvignon notamment). Verdict personnel : les seuls vins qu’on a vraiment appréciés étaient à plus de 40$ (35€) la bouteille…pas donné chez le producteur. Pourtant, on peut pas dire qu’on s’y connaisse et qu’on soit exigeant ; on n’a simplement pas aimé les « petits vins » !

Bon, il faut toutefois atténuer: on a bu un vin à Sydney à 25$ qui était vraiment bon…dans un restaurant coréen !

Sur la route, on voit notre premier Koala ! Il marchait tranquillement sur le bas coté, et a même accepté de poser pour nous.

 

Nouveau changement de décor : la côte.

On s’arrête  à Mount Gambier, pour faire une ballade autour d’un lac, d’une couleur exceptionnelle (on a un peu l’impression de se répéter dans cet article).

Le lac est en fait un cratère rempli d’eau, et il y a des trous comme ça un peu partout en ville.


On continue le chemin et on prend notre courage à deux mains pour sortir de la voiture pour se promener sur la côte. Une nouvelle fois, avec le vent, les nuages, le froid, mais surtout les falaises escarpées et les plages magnifiques, on se croirait en Bretagne…

Les australiens ont eu l’idée de nommer leurs rochers pour leur donner un aspect sentimental. Voici donc le «London Bridge».

On ne pouvait pas non plus manquer les «12 apôtres» : 12 rochers dans la mer. Il n’en reste en théorie plus que 6, mais on a eu l’impression de voir une quinzaine de cailloux différents, donc on ne sait pas trop qui est Pierre, Jean, ou Judas…

Petit arrêt pour visiter un parc national. Il s’agit d’une Rain Forest avec de multiples cascades.

Et on se retrouve ensuite sur la « Great Ocean Road », une route sinueuse longeant la côte.

Ca y est, on est arrivé à destination. Deuxième ville d’Australie (non, ce n’est pas la capitale…qui est Canberra), Melbourne est beaucoup plus peuplée que Brisbane, mais presque aussi agréable.

On y fêtera le nouvel an, avec 9h30 d’avance sur la France. Rendez-vous dans un parc pour une soirée un peu cul-cul mais amusante, avec en prime un feu d’artifice lancé depuis toute la ville.

On visitera également l’ancienne prison. Oui on va voir plus de prisons que de musées depuis qu’on est parti, mais il faut avouer que c’est nettement plus rigolo! Et puis l’histoire australienne est un peu limitée, je vous rappelle que c’était le pénitencier géant du Royaume Unie à l’époque…
 

 

Après une visite « classique », on participera au « Vis ma vie de prisonnier ». On se fait arrêter par un faux flic pour un motif tel que possession d’arme à feu ou conduite sans permis. On passe par toutes les étapes comme l’interrogatoire, la garde à vue et la célèbre photo! Tout cela se passe dans l’ancien commissariat et c’est vraiment sympa ;)

 

 

 

De Brisbane à Cairns

Written by sophie. Posted in Australie

 Bizarrement, on a eu Internet gratuit et illimité partout en Asie (même au fin fond du Laos), mais en Australie, on a eu beaucoup plus de mal! Notamment parce qu’on est passé en mode « road trip » : on a parcouru le pays en voiture, avec notre tente dans le coffre. On a donc peu été dans des hôtels / guesthouse… De toute façon, la grande majorité ne proposent pas Internet gratuit.

Ceux qui ont lu attentivement ont remarqué qu’on parlait de notre séjour en Australie au passé…Et effectivement, on en parle pour la première fois alors qu’on vient de prendre notre avion pour la Nouvelle Zélande ! On va donc essayer de rattraper notre retard en limitant le nombre d’articles. Mais rassurez vous, il seront plus long que d’habitude.

Première partie de notre itinéraire : la côte Est, de Brisbane à Cairns en 10 jours.

Brisbane, la ville où nous sommes arrivés, nous a vraiment plu. C’est la première fois depuis notre départ qu’on se dit qu’on aimerait bien y vivre…si ce n’était pas à l’autre bout du monde.La ville est aérée, propre, belle, tranquille, et même s’il n’y a pas grand chose à visiter, on envie le rythme de vie des habitants.

Notre impression est peut être un peu faussée, car nous y étions en plein été, sous le soleil, et pendant la période de Noël. On a pu voir des sapins et décorations un peu partout dans les rues (un peu perturbant pour nous alors que nous nous promenions en Tee-shirt…), des chorales « à l’américaine » interprétant des chansons de Noël, et même des « châteaux de sable » de Noël. 

 Et oui, car la ville a aménagé un lagoon pour les habitants : c’est une grande piscine découverte bordée de palmiers, entourée de plage, au centre d’un parc suffisamment grand pour que personne ne se marche dessus… et gratuite. C’est autre chose que Paris Plage…

On y a aussi fait de la plongée…

Bon ok, c’est seulement une photo d’une reproduction de la vie sous-marine prise dans un musée…mais c’est assez ressemblant…

On est ensuite parti dans la Sunshine Coast, à Noosa. Arrêt rapide pour profiter de la plage : ca faisait quand même plus d’une semaine qu’on n’avait plus eu l’occasion d’y aller. Au final, la mer était déchaînée, le sable super fin…et il faisait beaucoup trop froid pour se baigner. 

On est tombé complètement par hasard sur la ville de Mary Poppins. On cherchait juste un lieu pour dormir. La personne du centre d’information était tellement gentille qu’on s’est senti obligé de faire un tour sur les traces de l’écrivain, Pamela Lyndon Travers : c’est en effet à Maryborough qu’elle est née et a vécu. 

 Nouvelle journée et nouvelle étape : Frazer Island. C’est la plus grande île de sable du monde (120 km de long) ; il n’y a aucune route goudronnée. On a donc rejoint un groupe pour faire le tour de l’île en « bus 4×4 ».


Tous les routards nous ont dit que c’était le plus bel endroit du Queensland (comprenez de la côte Est). Et c’est vrai que les paysages sont pas mal… 

 Après une baignade dans un lac intérieur paradisiaque, on a vu une épave de bateau : c’est un ancien paquebot australien, en fin de vie, vendu aux japonais et qui s’est échoué durant le voyage vers le Japon… Quoi, vous vous en foutez vous aussi ? On ne fait malheureusement pas ce que l’on veut quand on voyage en groupe… 

Heureusement, on a ensuite fait une superbe ballade dans une rivière menant à la mer : une activité typiquement australienne, sauf qu’eux ont des bouées (et des bières en général).

 L’île est aussi le seul endroit du Queensland où l’on peut voir les Dingos, des chiens sauvages.

 Notre guide nous a dit en début de journée qu’on avait de la chance car la journée se terminerait plus tard que d’habitude. On n’a pas bien compris pourquoi…jusqu’à ce qu’on retourne au bateau et qu’on voit que l’île était inaccessible à marée basse, et qu’il fallait attendre que l’eau remonte un peu pour passer…

 Et on continue notre périple (et l’article) avec une plage dont on a oublié le nom, mais où l’on a pu voir pour la première fois les surfeurs australiens en action…encadrés par les Lifeguard blond platine !

Nouvelle arrêt : Airlie Beach et les WhitSundays Islands. Après un tour sur les pontons longeant la côte…

 … on s’est fait un ami en revenant à notre tente (pas de commentaires sur le côté « romano » de notre installation svp)

On embarque (encore) pour une mini-croisière à travers les îles. Et franchement, de toutes les mers qu’on a vues depuis le début de notre voyage, c’est vraiment ici que l’eau est la plus belle. Pas forcément la plus claire, mais d’une couleur bleue turquoise incroyable.

Et le sable est également le plus fin et le plus blanc…bref, vous aurez compris, on a bien aimé !

Encore un nouvel ami : ici, les animaux sauvages ne sont vraiment pas …sauvages.

Quelques heures de route en plus. Au final, on aura fait 3000 km en 6 jours : c’est grand l’Australie.
Petit jeu concours : quel est l’animal représenté sur le panneau ? 

Comme ça nous manquait un peu, on s’est à nouveau arrêté sur une plage. Ici, interdiction de se baigner à cause des méduses « mortelles ». Heureusement, il est quand même possible d’aller dans l’eau à certains endroits : un filet a été installé pour les arrêter.

Avant de rendre la voiture, on a quand même fait quelques photos…

…et fini notre bouteille de rhum birman !

On a ensuite passé 3 jours à Cairns, mais pour on ne sait quelle raison, on a oublié de prendre des photos. Sachez quand même qu’on a plongé dans la Grande Barrière de Corail. Il y a moins de poissons qu’en Thaïlande, mais la flore est vraiment superbe !