Lac Titicaca, Part 1

Written by sophie. Posted in Bolivie

Nous nous dirigeons maintenant vers Copacabana…au bord du lac Titicaca. Rien à voir donc avec son homonyme brésilienne, quoique… le nom de la célèbre plage vient précisément de ce petit village bolivien.

Une réplique de la célèbre vierge noire (autrement appelée Notre Dame de Copacabana, patronne de la Bolivie), abritée dans la cathédrale de la ville bolivienne, a été construite au XIXème siècle dans une chapelle du quartier brésilien, par un marin bolivien pour remercier la vierge de l’avoir sauvé d’une tempête au large de Rio de Janeiro, donnant son nom au quartier et à la plage.  Vous suivez toujours ?

Bref, la cathédrale en question, la voici !

C’est l’un des centres de culte et de pélerinage les plus importants d’Amérique du Sud, et le symbole du mélange entre la religion catholique et les croyances locales précolombiennes. On peut par exemple y voir des bénédictions de voitures à l’eau bénite, un peu surréalistes…

Photos interdites de la statue de la vierge : vous saurez seulement qu’elle est de type indienne (ce qui a expliqué sa popularité immédiate), et qu’elle change de tenue tous les 3 mois !

Après cet introduction culturelle, place aux paysages magiques du lac. Il faut près d’une heure d’effort pour arriver en haut de la colline qui surplombe la ville et profiter d’un premier point de vue sur le lac.

De loin, la plage qui longe la ville semble agréable, mais c’est qu’on ne voit pas les déchets qui l’envahissent malheureusement. Dommage.

Il faut donc s’éloigner de la côte pour vraiment profiter du lac, direction la Isla del Sol (île du soleil bien sûr).

Non, ce n’est pas cet îlot, mais bien la grande île un peu après.

Après avoir débarqué, une ballade incroyable vous attend, au sommet des montagnes et au milieu de ruines incas, d’animaux et d’eau ! On vous laisse vous y promener à travers quelques photos, sans commentaire…

C’était notre dernière étape en Bolivie, un pays qui nous a énormément plu, par sa culture et ses paysages. Définitivement dans le Top 5 des pays traversés depuis le début !

Dans la pampa amazonienne

Written by sophie. Posted in Bolivie

 A une heure de vol de La Paz, un nouveau dépaysement nous attend lorsque nous arrivons à Rurrenabaque. Il fait beau, chaud et humide… les gens se promènent en scooter… les maisons sont ouvertes…les palmiers et bananiers poussent par centaines… on a l’impression d’être revenus au Cambodge!!

Dés le lendemain matin, on part pour un trek de 3 jours dans la pampa amazonienne, avec 5 autres personnes.

Nous retrouvons avec plaisir les canoés en bois instables que nous avions laissé en Asie, qui nous permettent de naviguer  à la découverte d’incroyables animaux exotiques dans leur milieu naturel.

 Et on n’a pas été déçu par les animaux : où que l’on soit, à n’importe quel moment de la journée, il y en a toujours un à portée de vue !

- des singes qui jouent

- d’autres qui dorment

- des tortues qui bronzent

- des oiseaux qui sèchent

Et la balade continue jusqu’au coucher du soleil.

C’est beau mais l’inconvénient c’est qu’il y a des milliards de moustiques!! Malgré le spray et nos habits longs, on sert de diner à la faune locale…

Comme promis, même après la tombée de la nuit, on continue à voir des animaux. On utilise nos lampes frontales pour trouver les reptiles dont les yeux brillent dans la nuit. On verra:

- des bébés alligator, qui se cachent des prédateurs

- et la maman, qui chasse

On aura d’ailleurs la surprise de retrouver l’un d’entre eux au pied de notre chambre le lendemain matin… Heureusement, les cabanes sont construites sur pilotis.

Au péril de sa vie, Sophie a même réussi un superbe cliché !

Puis on part à la chasse à l’anaconda. La saison des pluies venant de se terminer, le niveau de l’eau est haut. La pampa est donc inondée, et nous avançons difficilement à travers les broussailles.

On aura parfois de l’eau jusqu’aux genoux!

En saison sèche, les anacondas se regroupent tous au bord des lacs (ils chassent dans l’eau et bronzent/ se reposent en hauteur, sur les arbres et arbustes). Mais en ce moment, ils sont libres de se promener un peu partout, dans la pampa gorgée d’eau. Le guide nous a donc prévenu qu’il serait difficile de trouver un anaconda (un groupe sur deux en voient a priori). On s’est donc dispersé avec « l’ordre », si l’on en voyait un, de l’attraper fermement par la queue pour l’empêcher de s’enfuir, en sifflant pour appeler les autres… Plus facile à dire qu’à faire ! Après une demi-heure de recherche, lorsque l’on n’y croyait plus vraiment, c’est finalement le guide lui-même qui a sifflé, ce qui a arrangé tout le monde !

Et on a pu posé pour la postérité ! Environ 3m de long,bien loin des 12m du plus long anaconda observé et encore plus de ceux du cinéma, qui atteignent facilement 25m !

On profite du retour au camp pour voir d’autres animaux :

- Un oiseau qui fait son nid

- des « perroquets » qui chantent

- et un black caïman de 5m qui fait peur (Le caïman noir est le plus gros crocodilien d’Amérique. Il peut atteindre 7m.)

Nouvelle activité : la pêche aux piranhas. Un hameçon, un fil et du poulet en barquette suffisent.

Il suffit ensuite d’un peu de dextérité pour tirer sur la ligne au bon moment !

Bon, ok,  on s’attendait à pêcher des piranhas de 50cm, on a eu des prises beaucoup moins impressionnantes. Mais de près, ça peut éventuellement faire peur.

Voilà le fruit de notre pêche : une belle brochette qu’on a dégusté au dîner !

Un nouveau coucher de soleil, sur l’eau cette fois-ci.

Et c’est reparti le lendemain matin pour une baignade…avec les dauphins roses. Les alligators et piranhas ne sont pas très loin, mais on nous a assuré qu’ils ne s’approchent pas des zones « réservées » aux dauphins…On n’a pas eu de problème en tout cas.

L’eau est bonne mais les dauphins ne s’approchent pas vraiment… On en verra quand même au loin. Par contre, impossible de prendre une photo correcte, vous vous contenterez d’un museau (ou nez?) et de deux dos !

C’est la fin de 3 jours bien chargés ! On profite d’une journée en ville pour grimper en haut de la colline dominant la ville et profiter d’un point de vue sur la région.

Remarque : Si vous avez fait attention, vous avez remarqué que Sophie n’était sur aucune photo dans cette article…Surement parce qu’elle a pris son rôle de reporter animalier à cœur, et que Guillaume a bien évité de lui prendre l’appareil. On se rattrapera au prochain article !

La Paz et ses environs

Written by sophie. Posted in Bolivie

 La Paz est une ville vraiment particulière. Encastrée entre les montagnes, elle tente sans cesse de gagner un peu plus de place. On peut voir des milliers de maisons construites sur des pentes vraiment raides ! La ville s’étend donc dans une cuvette, et il est assez impressionnant de la contempler de haut, depuis l’un des nombreux points de vue.

Pas grand chose d’autre à y faire sinon de se promener entre les nombreuses églises et autres bâtiments coloniaux.

Si vous avez de la chance,vous aurez droit à un « défilé musical traditionnel » : les femmes devant et les hommes derrière, les unes avec un instrument à la mains, les autres avec une canette de bière…

Les activités aux alentours sont nombreuses. A commencer par les ruines de Tiwanaku. C’était la capitale de la civilisation du même nom, qui précéda les Incas dans la région (âge d’or du VIIIème au XIIIème siècle). On peut notamment y voir le « temple du soleil » qui inspira Hergé dans Tintin et le temple du soleil : les statues, les icônes et les symboles prétendument incas viendraient d’ici (source : le Guide du Routard)

On commence la visite par le temple semi-souterrain et ses 172 têtes sculptées.

Puis on se dirige vers le Kalasasaya qui servait au culte du soleil.

Le monolithe Ponce,

La porte du Soleil,

Et pour finir, l’Akapana, une ancienne pyramide qui n’a pas survécu au temps et aux pillages.

Les courageux peuvent également descendre la « route de la mort ». Cette route pentue, sinueuse, non bitumée et vraiment étroite par endroits  fut à l’origine de nombreux accidents il y a encore quelques années.  Depuis, une autre route goudronnée a été construite et la route de la mort n’est désormais empruntée que par les habitants des quelques villages alentours et par des touristes en quête de sensations fortes. Quelques chiffres : La piste commence à la Cumbre à 4 640 mètres d’altitude et descend jusqu’à Coroico, à la limite des Andes et du bassin amazonien, à 1 750 mètres d’altitude. Presque 3 000 mètres de dénivelé pour 64 km de trajet !

On enfile donc notre tenue : pantalon, tee-shirt, veste (qui a dit ridicule ?!), protège-genoux, protège-coude et casque…

Et c’est parti ! Ça commence doucement par 20km de route goudronnée. On en profite pour tester les freins (« ca ira, enfin on verra »), et admirer la vue. On a de la chance : le ciel est dégagé, ce qui est plutôt rare à cet endroit

Puis on continue sur un chemin plein de cailloux et de pierres. Les poignets souffrent ! La route ne comporte aucune barrière de sécurité. D’un côté, la montagne, et de l’autre le vide…

On croisera de nombreuses croix dont on n’a pas besoin de demander la signification à notre guide… Il parait qu’il y avait plus de 200 morts par an à l’époque où la route était encore fréquentée.

Le climat change complètement. On a commencé dans l’Altiplano, avec un climat froid et sec. On terminera dans la forêt amazonienne, chaude et humide.

Bilan :

1) On a survécu.

2) on n’a pas trouvé ça si dangereux : il suffit juste de contrôler sa vitesse.

3) Les sensations sont extraordinaires, les paysages magnifiques

4) On était vraiment crevé à la fin. Ca fait surtout mal aux bras, pas du tout aux jambes (on a dû donner moins d’une centaines de coups de pédales sur toutes la descente…)

PS : les photos de la route de la mort ont été prises par notre guide…plus doué en vélo qu’en photographie !

Samaïpata « çamaïpasplu »

Written by sophie. Posted in Bolivie

Jusqu’ici, notre parcours en Bolivie était un sans faute, ou presque. Malheureusement, cette étape a été un peu décevante.

On nous avait beaucoup parlé de Samaipata et de son charme. L’arrivée en bus à 5h du matin et sous la pluie ne nous a pas laissé une très bonne première impression… La deuxième n’a pas été meilleure : en pleine journée, 3 magasins sur 4 sont fermés, il n’y a personne dans les rues, bref, c’est pas très vivant. On nous a expliqué que c’était parce qu’il ne faisait pas beau : les boliviens ne travailleraient donc pas quand il pleut…

On a quand même trouvé le marché !

On a également visité  « El Fuerte », un temple Chane / Inca / Guarani qui a ensuite servi de place forte (d’où son nom) aux conquistadors espagnols.

Saurez-vous trouver la « particularité » du taxi qui nous y a emmené… ?

El Fuerte a été construit sur la plus haute colline des environs : le point de vue est encore une fois exceptionnel.

 On aperçoit bientôt les premières ruines. Il s’agit de l’ancien quartier résidentiel.

Puis nous arrivons au temple. Il faut beaucoup d’imagination pour se représenter ce rocher tel qu’il était  avant que les pluies successives aient fait des ravages. Personnellement, on n’a été un peu frustré…Il ne reste vraiment pas grand chose !

 On voulait également faire un trek dans le parc Amboro, mais on a dû annuler à cause de la pluie… Au final, Samaïpata, ca aurait surement été mieux sous le soleil. On ne va pas non plus trop se plaindre, parce que pour l’instant, on a globalement été très chanceux sur le temps pendant notre tour du monde !

 

Sucre et ses alentours

Written by sophie. Posted in Bolivie

Nous avons passé 3 jours à Sucre (et dans sa région), et nous garderons un excellent souvenir de cette étape.

La ville, surnommée la ville blanche, est vraiment agréable. Comme dans beaucoup de villes boliviennes, de grands et riches monuments baroques témoignent de la richesse du pays sous la domination espagnole. Et comme dans toutes les villes boliviennes, des marchands divers animent les rues.

 Nous avons décidé de découvrir les environs en parcourant le « célèbre » chemin des Incas (il y en a environ 200 « routes des Incas » en Amérique latine, la plus connue permettant d’accéder au Machu Picchu) : 3h de marche dans la vallée  jusqu’à Maragua, un village situé au centre d un cratère de 8km de diamètre.

 C’est l’occasion pour nous de faire 2 remarques :

1) La Bolivie est un pays incroyablement escarpé. C’est une succession de collines, vallées, montagnes,…autant de paysages magnifiques que l’on contemple lorsque l’on traverse le pays.

2) Point négatif (il en faut bien un) : il est obligatoire de passer par des tours organisés pour la plupart des excursions. Évidemment très chères par rapport au niveau de vie d’ici, elles sont par contre assez bien organisées : petits groupes, guides parlant anglais,… On aurait quand même préféré prendre les transports publics pour nous rendre aux différents lieux, mais ils ne sont (volontairement) vraiment pas pratiques ! 

On parcourt donc cette route historique, heureusement en descendant, en profitant de la vue.

Pour ne rien gâcher, on est absolument seul (nous, 2 autres touristes et notre guide). On croisera bien quelques locaux, ce qui ajoutera une pointe de folklore !

Près du village, on a pu augmenter notre collection de chutes d’eau vues pendant notre tour du monde : on doit être à plus de 40…

On remonte ensuite le cours d’une rivière à sec pour arriver au village, typique de la campagne bolivienne : toit de chaume, murs de pierres entassées, « cuisine » extérieure, et cochons en liberté !

Un détour par les champs et un dernier coup d’oeil au paysage, puis nous repartons vers la ville.

Et comme on en a pris l’habitude, on teste une autre spécialité bolivienne : la gelée multicolore avec supplément crème chantilly !

Le lendemain, on part à Tarabuco, un village qui n’a aucun intérêt sauf le dimanche. Il y a en effet ce jour là un énorme marché traditionnel. On en profitera pour acheter quelques souvenirs…

 

Dans les entrailles de Potosi

Written by sophie. Posted in Bolivie

Avant de raconter nos aventures à Potosi, un petit encart général sur le « choc » culturel de notre arrivée en Bolivie. Ce pays est en effet complètement différent du Chili et de l’Argentine. Beaucoup plus pauvre, il est aussi vraiment plus authentique, bien que ce mot ne veuille pas dire grand chose, et dépaysant ! Les villes et villages boliviens ressemblent à des fourmilières. Les rues sont remplies de  piétons et de voitures, mais aussi et surtout de stands divers et variés : pain, shampoing, légumes, chaussures, fromage, téléphones portables, jus de fruit,… on trouve de tout dans ces minuscules boutiques ! Idem dans les nombreux marchés, qui « remplacent » les supermarchés. Si on ajoute à cela les tenues traditionnelles des femmes et les ponchos bariolés, ca donne une impression incroyable de vie et d’activité.

Bref, on adore se promener au milieu de tout ça, excepté lorsqu’il faut traverser une rue. Et on profite du faible coût de la vie : on peut à nouveau dormir dans des chambres privées et aller au restaurant (enfin dans les boui-boui) pour un euro !

Revenons à Potosi, et commençons par un peu d’histoire ! Aujourd’hui méconnue des européens, Potosi a été pendant longtemps l’une des villes les plus riches d’Amérique latine. C’est en effet dans une montagne avoisinante que la plus grande mine d’argent du monde a été découverte au 16eme siècle, et dont des quantités colossales ont été extraites au profit de l’Espagne et de l’Europe. Potosí a gardé de très nombreuses traces de cette époque coloniale avec ses ruelles étroites et ses monuments baroques. Très belle ville, elle est inscrite au patrimoine culturel de l’humanité.

Au début du 19ème siècle, la puissance argentifère de Potosí a commencé à décliner. Aujourd’hui, c’est devenu l’une des villes les plus pauvres de Bolivie. L’exploitation des gisements n’est plus vraiment rentable, mais les mineurs continuent d’y travailler, aidés financièrement en partie par l’état et surtout par les touristes !

En effet, quand on visite les mines, il est d’usage d’acheter des « cadeaux » aux mineurs : eau et soda (ca se comprend vu la chaleur à l’intérieur…), feuilles de coca (dans ce pays, c’est une institution : les travailleurs en mâchent toute la journée) ou même dynamite (en vente libre) ! On les distribue ensuite aux travailleurs que l’on croise.

A première vue, visiter des mines où des gens y passent (et y perdent ) leur vie, ca peut paraître assez malsain. Mais en discutant avec les mineurs, on s’est  rendu compte qu’ils comptaient vraiment sur le tourisme, tant financièrement que politiquement, pour donner de la publicité à leurs revendications  (nombreuses) au gouvernement.

Concernant la visite, on parcourt, parfois en rampant, de longs tunnels étroits.

On descend le long d’échelles dont un barreau sur deux est cassé et dont l’autre ne va pas tarder à l’être.

Et on se jette contre la paroi lorsque l’on entend le bruit d’un wagonnet, en espérant qu’il ne nous écrase pas les pieds, puisque de toute façon, « il ne peut pas s’arrêter une fois lancé, et même s’il le pouvait, il ne le ferait pas pour ne pas perdre de temps ».

Autre difficulté, l’air. Déjà avec l’altitude (plus de 4000m) et le confinement, c’est dur. Mais c’est parfois carrément irrespirable, notamment lorsqu’une explosion vient d’avoir lieu. Expérience vécue qui ne nous a vraiment pas laissés un bon souvenir, entre la poussière et les particules diverses qui « brûlent »les poumons…

On partagera également la tâche de certains travailleurs. Encore une fois, ca nous a semblé au départ un peu pathétique de donner 3 coups de pelles pour « faire comme eux », mais ils avaient l’air d’être content de nous montrer ce que c’était (et de la coca qu’on leur a donné aussi).

A la fin des 2h de visite, on était content d’en ressortir. C’était une très bonne expérience, mais on n’a vraiment  pas envie de recommencer.

Heureusement, après l’effort, le réconfort. On essaiera la bière locale et l’un des nombreux gâteaux « flashy » que les boliviens adorent. Bonne surprise, c’est pas si mauvais…

Trek de 3 jours en 4×4, jusqu’au Salar d’Uyuni, en 36 photos !

Written by sophie. Posted in Bolivie

Trois jours pour relier San Pedro de Atacama, au Chili, et Uyuni, petite ville du Sud Ouest bolivien, c’est long…sauf s’il s’agit de traverser l’une des plus inhospitalières (désert, salar,…), hautes (jusqu’à 5000m d’altitude) et surtout belles régions du monde ! Une expédition que nous vous racontons en photos.

Premier arrêt : le « laguna Blanca », et ce n’est que le début

Jeu de reflets numéro un

Jeu de reflets numéro deux

La « route »

10°C dehors, 35°C dedans !

Les geysers, ça fume…

… et ça sent mauvais (petit souvenir de Rotorua)

Le Laguna Colorado, seul

Le laguna Colorado, et ses habitants

Le Laguna Colorado, avec deux intrus devant

Le laguna Colorado : une dernière photo pour la route

Les alignements de Carnac

Dans combien de temps va-t-il tomber ?

Détail choc !

Panne dans le désert, pas de panique !

Encore un lac, dont on a oublié le nom

 Notre hôtel, perdu au milieu du désert

Le chef des lamas !

Fenêtre sur cour

Bouchons à Roissy

Combat de canards / serpents / dinosaures

Pique-nique dans les prés

Murs en sel, sol en sel, tables et chaises en sel, et même lits en sel : nous sommes bien dans un hôtel de sel !

 6h25 : avant le lever de soleil sur le salar d’Uyuni

6h29 : début du lever de soleil

6h36 : fin du lever de soleil

L’île des Incas, autrefois entourée d’eau…

Attention, ça pique !

Bébé lama commandant une bière

Damier géant

Impressionnant…

Troublant…

Amusant…

Ridicule !

Photo de groupe

Dernière étape : le cimetière des trains. Pas forcement indispensable…